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VALLIER x CASTELLI
NATURE CITADINE
Vallier a vu le jour en 2019 à Montréal. La marque est née de la vision de vêtements pensés et faits pour le quotidien en ville, auxquels seraient élégamment incorporés tous les meilleurs avantages des technologies de pointe venant du plein air.
De collection en collection, elle a su affirmer et réaffirmer sa personnalité, qui se concrétise dans une gamme d’essentiels durables et intemporels. Son approche se veut globalement responsable - basée sur des choix de matériaux et des processus de fabrication durables, et sur la production d’un tiers de sa collection au Canada.
En 2024, la marque s’associe à Castelli pour offrir une perspective unique sur ce que peuvent être les vêtements de vélo haute performance. Voici l’histoire de produits qui s'adressent à la communauté cycliste citadine et au-delà, qui vit le vélo au quotidien, comme une partie intégrante de son mode de vie.
De collection en collection, elle a su affirmer et réaffirmer sa personnalité, qui se concrétise dans une gamme d’essentiels durables et intemporels. Son approche se veut globalement responsable - basée sur des choix de matériaux et des processus de fabrication durables, et sur la production d’un tiers de sa collection au Canada.
En 2024, la marque s’associe à Castelli pour offrir une perspective unique sur ce que peuvent être les vêtements de vélo haute performance. Voici l’histoire de produits qui s'adressent à la communauté cycliste citadine et au-delà, qui vit le vélo au quotidien, comme une partie intégrante de son mode de vie.
ROULER À MONTRÉAL
Pas loin des bureaux de Vallier à Montréal, il y a la côte Camilien-Houde. On ne la voit peut-être pas par la fenêtre, mais on voit très bien le Mont-Royal qu’elle gravit.
À près de 120 mètres d’ascension sur environ un kilomètre et demi - inclinaison moyenne de 7% avec une pointe à 11 - c’est un modeste terrain de jeu. Mais on a les côtes qu’on a, et Camilien-Houde est celle des cyclistes montréalais, qui la montent et la remontent autant qu’ils peuvent, durant les quelque sept mois où la température le permet.
C’est aussi la montée qui est centrale au parcours du Grand Prix Cycliste de Montréal. Chaque année, juste avant l’automne, les pros traversent l’Atlantique et viennent courir au cœur de la ville, complétant l’ascension 18 fois sur une boucle d’une douzaine de kilomètres. Adam Yates a gagné l’année passée - en 2022, c’était nul autre que Pogi.
Ça place la pratique du vélo de route à Montréal au centre de l’action, donnant au sport une tonalité urbaine toute particulière. Le pied de la montagne est à l’angle des mythiques avenues du Parc et du Mont-Royal, et les adeptes convergent sur le Plateau au petit matin pour monter ensemble, puis retraitent vers les cafés de leurs quartiers, avant le boulot.
Nombre de ces cyclistes sont des clients de Vallier - et quelques-uns des membres de l’équipe. L’idée d’offrir des ensembles de vélo qui soient performants au plus haut niveau, tout en conservant le design épuré qui lui est propre, est venue tout naturellement. Comme la marque avec qui les produire, d’ailleurs.
À près de 120 mètres d’ascension sur environ un kilomètre et demi - inclinaison moyenne de 7% avec une pointe à 11 - c’est un modeste terrain de jeu. Mais on a les côtes qu’on a, et Camilien-Houde est celle des cyclistes montréalais, qui la montent et la remontent autant qu’ils peuvent, durant les quelque sept mois où la température le permet.
C’est aussi la montée qui est centrale au parcours du Grand Prix Cycliste de Montréal. Chaque année, juste avant l’automne, les pros traversent l’Atlantique et viennent courir au cœur de la ville, complétant l’ascension 18 fois sur une boucle d’une douzaine de kilomètres. Adam Yates a gagné l’année passée - en 2022, c’était nul autre que Pogi.
Ça place la pratique du vélo de route à Montréal au centre de l’action, donnant au sport une tonalité urbaine toute particulière. Le pied de la montagne est à l’angle des mythiques avenues du Parc et du Mont-Royal, et les adeptes convergent sur le Plateau au petit matin pour monter ensemble, puis retraitent vers les cafés de leurs quartiers, avant le boulot.
Nombre de ces cyclistes sont des clients de Vallier - et quelques-uns des membres de l’équipe. L’idée d’offrir des ensembles de vélo qui soient performants au plus haut niveau, tout en conservant le design épuré qui lui est propre, est venue tout naturellement. Comme la marque avec qui les produire, d’ailleurs.
QUAND ÇA RESTE DANS LE QUARTIER
Parce que non loin des bureaux de Vallier à Montréal, il y a déjà eu ceux de Castelli, avant que le pied-à-terre québécois de la marque ne déménage dans les très roulants Cantons de l’Est. Selon la designer Valérie Drolet, si la proximité aide, c’est loin d’être la seule raison qui a mené Vallier à aller cogner chez son ancienne voisine. Pour la Montréalaise, Castelli est une marque bien établie qui inspire confiance, et dont l’image classique correspond parfaitement à celle de Vallier. Toutes deux ont ce quelque chose d’intemporel, bien à l’abri des modes passagères.
Vallier est arrivée avec ses concepts très inspirés de la ville, avec tout ce que ça demande de raffinement et de polyvalence. La marque est citadine par nature, et elle conçoit le cyclisme comme une extension de son mode de vie. Castelli a accueilli la proposition chaleureusement, contente d’explorer une direction rafraîchissante, qui émerge d’une culture du vélo vivante et toujours en évolution. Ce faisant, bien sûr, sans sacrifier un once de sa qualité légendaire, ni dénaturer l’élégance de sa tradition italienne.
Vallier a approché la tâche en voulant créer quelque chose qui s’inscrive à 100% dans la direction de sa collection - mais pour le vélo. Sur la structure fournie par Castelli, la marque a tracé ses lignes très claires, très précises. Sur les maillots, la couleur grise riche a la profondeur du béton et rappelle la ville, alors que le vert vaporeux invite au mouvement et évoque la nature. C’était l’intention de Vallier, par ces choix, d’exprimer le lien entre les rues sinueuses de la métropole et l’appel de la grand-route.
En matière de design, on cherchait quelque chose d’épuré, d’élégant et de performant - dans la coupe autant que dans la finition. Selon Valérie Drolet, c’est facile de travailler à partir d’une image aussi bien établie que celle de Castelli: on peut carrément l’approcher comme un canevas. Cette image est tellement bien définie qu’on peut se permettre de faire table rase, esthétiquement, puis «l’habiller en Vallier», comme elle dit.
Elle ajoute: «On nous a laissé cette liberté-là: le choix des couleurs, des motifs, tout - et on a invité Castelli en ville, pour ainsi dire. Je pense qu’on a réussi à amener un nouveau regard sur le produit, sans le dénaturer, mais suffisamment pour surprendre.»
Vallier est arrivée avec ses concepts très inspirés de la ville, avec tout ce que ça demande de raffinement et de polyvalence. La marque est citadine par nature, et elle conçoit le cyclisme comme une extension de son mode de vie. Castelli a accueilli la proposition chaleureusement, contente d’explorer une direction rafraîchissante, qui émerge d’une culture du vélo vivante et toujours en évolution. Ce faisant, bien sûr, sans sacrifier un once de sa qualité légendaire, ni dénaturer l’élégance de sa tradition italienne.
Vallier a approché la tâche en voulant créer quelque chose qui s’inscrive à 100% dans la direction de sa collection - mais pour le vélo. Sur la structure fournie par Castelli, la marque a tracé ses lignes très claires, très précises. Sur les maillots, la couleur grise riche a la profondeur du béton et rappelle la ville, alors que le vert vaporeux invite au mouvement et évoque la nature. C’était l’intention de Vallier, par ces choix, d’exprimer le lien entre les rues sinueuses de la métropole et l’appel de la grand-route.
En matière de design, on cherchait quelque chose d’épuré, d’élégant et de performant - dans la coupe autant que dans la finition. Selon Valérie Drolet, c’est facile de travailler à partir d’une image aussi bien établie que celle de Castelli: on peut carrément l’approcher comme un canevas. Cette image est tellement bien définie qu’on peut se permettre de faire table rase, esthétiquement, puis «l’habiller en Vallier», comme elle dit.
Elle ajoute: «On nous a laissé cette liberté-là: le choix des couleurs, des motifs, tout - et on a invité Castelli en ville, pour ainsi dire. Je pense qu’on a réussi à amener un nouveau regard sur le produit, sans le dénaturer, mais suffisamment pour surprendre.»
TECHNOLOGIES ET PERFORMANCE DE POINTE
Seuls les meilleurs morceaux Castelli ont été sélectionnés. La marque italienne a conseillé Vallier à ce niveau, et c’est entre autres là que brille sa grande expertise. On peut dire que les rôles des deux parties étaient très clairs - cette collaboration est une histoire de confiance, et une occasion de capitaliser sur les forces de chacun. Qu’on s’adresse à Vallier ou à Castelli, même son de cloche: les deux marques sentent qu’elles se tirent vers le haut.
Fait intéressant à noter: les techniques d’impression diffèrent du cuissard au maillot. Selon Pierre Perron de Castelli, l’idée est d’utiliser la bonne technologie à la bonne place. Alors que celle du maillot permet d’aller plus loin visuellement, et de pousser un concept à son plein potentiel sans sacrifier la performance, la technique utilisée pour le cuissard permet d’optimiser le confort de beaucoup, là où c’est vraiment critique.
Ce cuissard à bretelle est nouveau cette année dans la gamme Castelli, et il est vraisemblablement un des meilleurs qu’on puisse se procurer sur le marché actuellement. Grâce à une technique d’impression qu’on appelle DTF (Direct To Film - une technique d’impression qui permet d’imprimer des images à la définition surnaturelle sur des étoffes de la plus haute qualité), Castelli peut travailler avec un tissu très haut de gamme qu’elle nomme le Forza 2. Il est hautement compressible, et le soutien musculaire et le confort qu’il offre sont sans égal. Il est fabriqué avec un fil qui est teint avant d’être transformé, ce qui améliore considérablement la durabilité du produit, tout en garantissant une performance constante dans le temps.
L’enthousiasme de Pierre Perron pour le résultat est palpable: «La découpe des lettres est simplement parfaite. Il y a réellement une tendance qu’on remarque présentement chez les équipes, qui vont nous demander un maillot aux couleurs de leurs différents commanditaires, mais choisir un cuissard comme celui-là, parce que c’est le summum du confort. Quand on passe jusqu’à cinq heures en course sur son vélo, c’est capital.»
Fait intéressant à noter: les techniques d’impression diffèrent du cuissard au maillot. Selon Pierre Perron de Castelli, l’idée est d’utiliser la bonne technologie à la bonne place. Alors que celle du maillot permet d’aller plus loin visuellement, et de pousser un concept à son plein potentiel sans sacrifier la performance, la technique utilisée pour le cuissard permet d’optimiser le confort de beaucoup, là où c’est vraiment critique.
Ce cuissard à bretelle est nouveau cette année dans la gamme Castelli, et il est vraisemblablement un des meilleurs qu’on puisse se procurer sur le marché actuellement. Grâce à une technique d’impression qu’on appelle DTF (Direct To Film - une technique d’impression qui permet d’imprimer des images à la définition surnaturelle sur des étoffes de la plus haute qualité), Castelli peut travailler avec un tissu très haut de gamme qu’elle nomme le Forza 2. Il est hautement compressible, et le soutien musculaire et le confort qu’il offre sont sans égal. Il est fabriqué avec un fil qui est teint avant d’être transformé, ce qui améliore considérablement la durabilité du produit, tout en garantissant une performance constante dans le temps.
L’enthousiasme de Pierre Perron pour le résultat est palpable: «La découpe des lettres est simplement parfaite. Il y a réellement une tendance qu’on remarque présentement chez les équipes, qui vont nous demander un maillot aux couleurs de leurs différents commanditaires, mais choisir un cuissard comme celui-là, parce que c’est le summum du confort. Quand on passe jusqu’à cinq heures en course sur son vélo, c’est capital.»
CAPTURER L'ESSENCE DE LA COLLABORATION
C’était une première pour les deux marques d’organiser une séance photo impliquant des acteurs dans trois pays différents: le Canada, l’Italie et l’Espagne. L’idée d’aller shooter à Gérone avait du charme: la ville est devenue une plaque tournante du cyclisme international depuis les années 1990, attirant toujours davantage de professionnels qui s’y entraînent, et de passionnés qui vont y prendre une pause de l’hiver pour cumuler les kilomètres en vue du printemps.
Béatrice Perron, correspondante pour Castelli, était sur place pour contribuer à la coordination des événements autour du meilleur pôle pour l’occasion: la seule boutique-concept de Castelli au monde, avantageusement située au cœur de la capitale catalane. «C’était vraiment cool de travailler avec Sergi, un photographe local. Il connaissait tout le monde et tous les recoins de la ville, où aller et à quelle heure pour avoir la meilleure lumière… Il a été un atout incroyable. Il nous a aussi offert un contact vraiment privilégié avec la communauté cycliste locale».
Béatrice Perron, correspondante pour Castelli, était sur place pour contribuer à la coordination des événements autour du meilleur pôle pour l’occasion: la seule boutique-concept de Castelli au monde, avantageusement située au cœur de la capitale catalane. «C’était vraiment cool de travailler avec Sergi, un photographe local. Il connaissait tout le monde et tous les recoins de la ville, où aller et à quelle heure pour avoir la meilleure lumière… Il a été un atout incroyable. Il nous a aussi offert un contact vraiment privilégié avec la communauté cycliste locale».
La communauté, c’est une notion récurrente quand on discute de cette collaboration avec les personnes impliquées. C’est central dans la vision de Vallier, et c’est une direction que Castelli souhaite incarner. Dans le monde du cyclisme amateur, il y a toujours eu une tendance à vouloir imiter les professionnels - à rouler sur les mêmes machines, et à porter les mêmes vêtements. Ces dernières années, il y a un autre mouvement qui s’impose tranquillement, et qui contraste avec ces anciennes habitudes. On remarque que les passionnés de vélo recherchent des vêtements plus performants que jamais, certes, mais qui ont un look plus proche de leur quotidien, de leur milieu et de leurs habitudes.
Le cyclisme semble plus social que jamais, peut-être, et les lieux de rencontre en ville sont multiples et diversifiés. On veut s'habiller pour aller rouler avec des vêtements qui seront à leur place au café où on se regroupe, et sur la terrasse en fin d’après-midi. Castelli veut s’adresser à cette communauté émergente et lui rendre disponible son héritage technique. Et amalgamer performance et élégance discrète, c’est en quelque sorte la signature qui fait la réputation de Vallier.
Pour William Wachter, directeur artistique de la marque montréalaise, c’est ce que racontent ces photos: l’aspect communautaire, amical. «Partager le vélo», comme il le formule habilement. «La séance a été imaginée comme un voyage de vélo entre passionnés: on se retrouve chez quelqu’un, on s’équipe, on va rouler, et on fait un arrêt au café. Le tout à Gérone, dans les meilleurs vêtements et conditions imaginables.»
Le cyclisme semble plus social que jamais, peut-être, et les lieux de rencontre en ville sont multiples et diversifiés. On veut s'habiller pour aller rouler avec des vêtements qui seront à leur place au café où on se regroupe, et sur la terrasse en fin d’après-midi. Castelli veut s’adresser à cette communauté émergente et lui rendre disponible son héritage technique. Et amalgamer performance et élégance discrète, c’est en quelque sorte la signature qui fait la réputation de Vallier.
Pour William Wachter, directeur artistique de la marque montréalaise, c’est ce que racontent ces photos: l’aspect communautaire, amical. «Partager le vélo», comme il le formule habilement. «La séance a été imaginée comme un voyage de vélo entre passionnés: on se retrouve chez quelqu’un, on s’équipe, on va rouler, et on fait un arrêt au café. Le tout à Gérone, dans les meilleurs vêtements et conditions imaginables.»
FAITE POUR ROULER LONGTEMPS
Vallier x Castelli, c’est une collaboration faite pour durer, et pour rouler des rues de la ville aux routes de campagne longtemps, confortablement. Ses couleurs sont à leur place au café et dans le peloton, même - encore plus - s’il est composé de seulement quelques amis. Sur le plan technologique, on n’a fait aucune concession, et on n’a négligé aucun détail, ce qui est réellement une signature que partagent les deux marques.
Les maillots, cuissards et chaussettes Vallier x Castelli sont disponibles maintenant sur altitude-sports.com, et dans les boutiques Castelli sélectionnées.
Les maillots, cuissards et chaussettes Vallier x Castelli sont disponibles maintenant sur altitude-sports.com, et dans les boutiques Castelli sélectionnées.
Article par : Simon Ruel, concepteur-rédacteur Altitude Sports
Images: @Sergi Mas de Xaxars
Images: @Sergi Mas de Xaxars
Un merci spécial à Béatrice Perron, Philippe Giguere, Luisa Stavenhagen, Edoardo Lazzarotto, Giovanni Lira, Sergi Mas de Xaxars, Sara Garcia, Nick Cusseneers and Ryan Soe-Jeng Woei